• Chapitre 3: Une mauvaise phase

    - Intrigue de début d’épisode -

    Dorémi et Sophie sont en train de faire leurs devoirs ensemble, dans la chambre de Dorémi. Sophie réfléchit et semble légèrement agacée de ne pas trouver la réponse à son exercice. Dorémi la regarde, elle a un léger sourire aux lèvres.

    Dorémi (en pensée): "Je suis si heureuse que Sophie soit dans la même classe que moi. C'est fini maintenant. Je ne suis plus seule."

    Son sourire s'en va peu à peu.

    Dorémi (en pensée): "Mais je suis toujours éloignée de mes autres amies. J'espère qu'elles ne ressentent pas la même peine que moi les jours précédents..."

    - Générique -

    Une fois arrivées devant l'école, Sophie demanda à Dorémi où se trouvait sa classe.

    Dorémi: "C'est tout près d'ici. Mais... attends... ça veut dire que..."

    Sophie lui sourit.

    Sophie: "Que je suis dans la même classe que toi. Mes parents ont demandé au principal d'être dans la même classe que toi et il a tout de suite été d'accord."

    Dorémi: "Oh Sophie si tu savais comme je suis heureuse. Je l'étais déjà en apprenant que l'on pourrait se voir régulièrement mais maintenant..."

    Sophie: "On pourra se voir tout le temps. Pendant la classe, à midi, en rentrant, on pourra même faire nos devoirs ensemble si tu veux. Sans oublier les weekends et les vacances. On pourra se voir tous les jours. Exactement comme avant."

    Les paroles de Sophie réchauffèrent le cœur de Dorémi. C'était fini. C'était terminé. Tout son malheur et sa solitude étaient maintenant loin derrière elle. Elle ne serait plus jamais seule. Cette phrase se répétait en boucle dans sa tête.

    Sophie: "Dorémi? Tu es toujours avec moi?"

    Dorémi: "Oh oui, excuse-moi. J'étais en train de penser."

    Sophie: "J'ai vu ça." dit-elle en plaisantant. "Maintenant, il faudrait peut-être penser à aller en cours. Surtout que je suis nouvelle et être en retard ne serait pas très bien vu du professeur."

    Dorémi: "Oui tu as raison."

    Elles marchèrent dans le couloir jusqu'à atteindre la porte de leur classe. Sophie s'apprêta à toquer mais Dorémi l'arrêta.

    Dorémi: "Si tu entres la première alors c'est toi que mon professeur accusera d'être en retard. Je n'ai pas envie que tu te sentes mal dès le premier jour comme j'ai pu me sentir. Et puis... Sophie, tu as toujours été la plus courageuse et déterminée de nous toutes. C'est toi qui as toujours fait le premier pas. Maintenant, c'est à moi de le faire."

    A ces mots, Sophie s'écarta et Dorémi toqua à la porte, puis entra. Au regard de Dorémi, Sophie sut qu'elle devait se mettre en retrait.

    Dorémi: "Excusez-moi d'être en retard Mademoiselle." dit-elle en s'abaissant.

    Mademoiselle: "Dorémi, vous devriez avoir honte d'être en retard dès le deuxième jour de l'année."

    Mademoiselle ressemblait beaucoup à Mademoiselle Kiki. C'est pourquoi Dorémi l'a redoutait mais ressentait aussi une grande confiance envers elle.

    Dorémi: "Oui je le sais Mademoiselle et j'en suis vraiment désolée."

    Mademoiselle: "Bon très bien, va t'asseoir à ta place et que je ne t'y reprenne plus."

    Dorémi: "Oui Mademoiselle."

    Dorémi se redressa et fit signe à Sophie de s'avancer. Dès qu'elle vit ce nouveau visage, Mademoiselle lui demanda qui elle était.

    Sophie: "Je m'appelle Sophie Senoo Mademoiselle." dit-elle en s'abaissant.

    Mademoiselle: "Oh, tu es la nouvelle élève dont m'a parlé le principal."

    Sophie: "C'est bien ça Mademoiselle."

    Mademoiselle: "Mais je t'attendais à huit heures."

    Sophie se redressa et s'apprêta à parler mais Dorémi l'interrompit.

    Dorémi: "Ce n'est pas de sa faute Mademoiselle. C'est de la mienne. Sophie devait m'attendre chez moi ce matin pour que je l'accompagne jusqu'à sa nouvelle école et sa nouvelle classe mais je ne me suis pas réveillée. Du coup je me suis dépêchée de me préparer et nous avons couru aussi vite que possible pour arriver à l'heure mais nous n'y sommes pas arrivées. Veuillez une fois de plus m'excusez Mademoiselle."

    Mademoiselle: "Bon, vous êtes excusées toutes les deux pour cette fois. Mais c'était la dernière. C'est compris?"

    Dorémi et Sophie: "Oui Mademoiselle."

    Mademoiselle: "Du coup, tu te présenteras auprès de tes nouveaux camarades à l'heure suivante."

    Sophie: "Bien Mademoiselle."

    Mademoiselle: "Maintenant, il faut te trouver une place."

    Elle regarda l'ensemble de la classe. Il y avait actuellement trois places disponibles, dont une qui était juste à côté de Dorémi.

    Mademoiselle: "Puisque tu sembles bien connaître Dorémi, tu n'as qu'à te mettre à côté d'elle pour l'instant."

    Sophie: "Bien Mademoiselle."

    Elles se sourirent toutes les deux et Dorémi indiqua à Sophie où était son bureau et celui qui était disponible juste à côté du sien. Elles s’assirent toutes les deux en même temps. Sophie remarqua à quel point Dorémi était nostalgique car elle était assise au fond à gauche de la classe, exactement comme quand elles étaient toutes dans la même classe avec Emilie, puis par la suite avec Loulou. La seule différence était que Sophie était à la place d'Emilie et non plus derrière Dorémi comme auparavant, mais aussi qu'il manquait du coup deux personnes: Emilie et Loulou. Il n'y avait donc personne derrière elles et donc avant que Sophie n'arrive, personne à côté de Dorémi.

    Sophie (en pensée): "Pauvre Dorémi... Je ne pensais pas qu'elle était aussi seule." Elle se mordit les lèvres. "Je m'en veux de l'avoir laissée..."

    Mademoiselle: "Très bien. Maintenant que tout le monde est là, nous allons pouvoir poursuivre le cours." Puis elle s'adressa à Dorémi. "Je compte sur toi pour aider au mieux ta camarade."

    Dorémi: "Oui Mademoiselle."

    Mademoiselle lui adressa un sourire et reprit ce qu'elle était en train d'écrire au tableau. Mademoiselle était, comme Mademoiselle Kiki, quelqu'un de très proche avec ses élèves. Le cours se passa et la cloche annonça la fin de la première heure.

    Mademoiselle: "Très bien. Maintenant tu vas pouvoir te présenter Sophie."

    Sophie se leva et alla jusqu'au tableau, auprès de Mademoiselle. Elle y était allée avec son aisance naturelle et commença.

    Sophie: "Bonjour. Comme vous avez pu l'entendre, je m'appelle Sophie, comme l'héroïne de la Comtesse de Ségur, vous savez Les malheurs de Sophie. Je viens de m'installer pour la deuxième fois dans cette ville et j'espère me plaire autant que la première fois et me faire beaucoup d'amis. Ce qu'il y a c'est que je suis un peu timide quand je ne connais pas les gens mais à part ça, je crois que je suis quelqu'un de plutôt sympathique. Qu'est-ce que je pourrais vous dire d'autre? Je ne suis pas vraiment ce qu'on appelle une élève studieuse, j'aime le sport, mon passe-temps favori est de chanter sous la douche. Bon ben je crois que c'est tout. Merci de votre attention."

    Tous les élèves se mirent à l'applaudir mais Dorémi fut surprise du discours que Sophie avait prononcé. Il lui rappelait celui qu'elle avait fait lorsqu'elle était arrivée à Misora pour la première fois et qu'elle devait se présenter devant toute la classe. Oui c'était bien ça. Le souvenir de Dorémi devint alors de plus en plus clair. Ce jour où elle avait rencontré Sophie. Ce jour où elle ne savait pas encore qu'elle deviendrait sa meilleure amie. Elle avait dit exactement la même chose à quelques mots près et les élèves l'applaudissaient comme ceux qui l'avaient applaudie auparavant, à l'école primaire de Misora. C'était comme il y a quelques années. Comme à cette période merveilleuse où Dorémi était entourée de ses amies... Mais pourquoi avait-elle fait ça? Pourquoi avait-elle voulu restituer ses propres paroles?

    Mademoiselle: "C'est bon, tu peux aller te rasseoir maintenant." lui dit-elle en souriant.

    Sophie: "Bien Madame."

    Dorémi la regarda se rasseoir avec des yeux plein d'étonnement et de questions. Le cours se passa et Sophie remarqua à quel point Dorémi était différente du cours précédent.

    Sophie (en pensée): "Je ne comprends pas. Elle avait l'air heureuse à l'heure précédente. Pourquoi semble t-elle de nouveau si triste?"

    La cloche retentit la fin de la deuxième heure de cours et l'heure de la récréation. Sophie se leva mais Dorémi était encore assise. C'était comme si elle n'avait pas entendu la sonnerie, ni le grincement des chaises des élèves qui se levaient pour rejoindre la cour de récréation. Elle semblait songeuse et complètement ailleurs.

    Sophie: "Dorémi?"

    Dorémi se redressa. C'était comme si elle était revenue à elle-même.

    Sophie: "Est-ce que ça va? Tu as l'air bizarre depuis le début de l'heure."

    Dorémi: "Oui ça va, ne t'inquiète pas pour moi."

    Elle se leva et se dirigea vers la porte. Sophie la suivit, inquiète du brusque changement de comportement de son amie. Elle avait l'étrange impression que quelque chose n'allait pas entre elle et Dorémi. Elle avait l'impression que Dorémi lui en voulait.

    Sophie (en pensée): "Elle ne m'en veut quand même pas parce qu'elle était seule ces derniers jours. Si c'était le cas, elle n'aurait pas été si heureuse à la première heure."

    Ses pensées l'avaient retardées et elle avait perdu de vue Dorémi. Elle franchit les quelques mètres du couloir qui la séparaient de la cour et regarda parmi tous les élèves où se trouvait son amie. Elle finit par l'apercevoir, seule, assise sur un banc, tête baissée et l'air aussi songeur qu'elle ne l'était en cours. Sophie commença à marcher vers sa direction.

    Sophie (en pensée): "Cette fois-ci c'est sûr. Je ne sais pas pourquoi, mais elle m'en veut."

    En la regardant, Sophie s'aperçut une fois de plus à quel point Dorémi était seule depuis que ses amies étaient loin d'elle. Elle s'en voulut une fois de plus à elle-même. Une fois arrivée, elle s'assit près de Dorémi et la regarda.

    Sophie: "Dorémi. Je ne pourrais jamais savoir ce que tu as ressenti durant les jours précédents mais maintenant je suis là et je te promets que je ne te laisserai plus jamais seule. Alors je t'en pris, dis-moi qu'est-ce qui ne va pas. Dis-moi quelque chose Dorémi, je t'en pris." Sophie était au bord des larmes et sa voix commença à s'élever. "Dorémi, on se connait depuis des années maintenant et je sais très bien quand quelque chose ne va pas. Je sais que tu m'en veux mais je ne sais même pas pourquoi. Si tu me le disais, je pourrais essayer d'arranger les choses."

    Dorémi: "Je ne pense pas que tu puisses faire quelque chose Sophie."

    Dorémi parlait d'une voix très douce et posée.

    Sophie: "Ecoute, si j'avais la magie, je n'hésiterais pas à remonter dans le temps et faire en sorte qu'on ne se soit jamais séparées. Peu importe ce que j'aurais fait, j'aurais trouvé une solution pour qu'on soit ensemble et que toute cette tristesse ne te soit jamais arrivée."

    Dorémi: "Ce n'est pas de ça qu'il s'agit."

    Sophie était surprise de sa réponse. La cloche retentit la fin de la récréation. Dorémi se leva pour regagner la classe mais Sophie resta assise, d'un air triste et surpris. Les bavardages des élèves qui commençaient à regagner leur classe la firent revenir à elle-même. Elle se leva et fit de même. Elle était l'une des dernières à entrer dans sa classe. Elle remarqua que Dorémi était déjà assise et qu'elle semblait toujours aussi songeuse. Sophie ressentait à la fois de la peine pour elle et en même temps une certaine colère. Elle lui en voulait de garder ce qui la rendait si triste pour elle seule et de ne pas le partageait à son amie. Elle lui en voulait encore plus de son changement de comportement à son égard sans qu'elle n'ait aucune explication.

    Mademoiselle: "Allez les retardataires, dépêchez-vous de regagner vos places."

    Les heures suivantes se passèrent comme les précédentes. Dorémi était songeuse et déconnectée du monde, Sophie s'en voulait à chaque minute un peu plus. Comment deux personnes, qui avaient vécu plusieurs années d'amitié ensemble et qui étaient si heureuses de se retrouver quelques heures auparavant, pouvaient devenir deux parfaites inconnues l'une pour l'autre? Comment pouvait-on passer d'une émotion à son opposée? Comment pouvait-on passé d'un sentiment intense de bonheur à une tristesse profonde? Comment pouvait-on passé de l'amitié et du partage à la solitude? Telles étaient les questions que se posaient Sophie. Et telles étaient ses seules pensées de la journée.

    Mademoiselle: "Sophie, est-ce que tu peux répondre à la question?"

    Elle ne fit pas attention à ce que disait Mademoiselle et resta dans ses pensées.

    Mademoiselle: "Sophie?"

    A l'écoute de son nom, elle releva la tête et revint à la réalité.

    Mademoiselle: "Est-ce que tu peux répondre à la question de l'exercice?"

    Sophie: "Oui Mademoiselle."

    [...]

    La sonnerie retentit enfin la fin de la journée, ce qui ramena Dorémi à la réalité. Elle se leva, prit son sac et sortit en courant. Sophie était surprise de la voir toute une journée si passive et si ailleurs et maintenant si vive. Elle put à peine apercevoir une larme qui s'écoulait de l’œil de Dorémi que cette dernière avait déjà quitté la salle.

    Sophie (en pensée): "Je ne peux pas la laisser partir une fois de plus."

    Elle se mit aussi à courir pour la rattraper mais elle s'aperçut en franchissant le couloir qu'elle était déjà loin. Elle continua toutefois de courir en espérant pouvoir la rattraper. Elle était dans la cour et ne vit personne, les élèves étaient encore derrière elle en train de sortir de classe. Mais elle vit au loin une silhouette, c'était elle, c'était Dorémi. Sophie s'efforça de courir encore plus vite, elle voulait à tout prix éviter que Dorémi puisse rentrer chez elle sans lui avoir parlé. Elle se rapprochait peu à peu d'elle mais elle était surprise de voir que Dorémi qui n'a jamais été une grande sportive contrairement à elle, puisse courir aussi vite. Il lui fallait une très grande motivation pour courir aussi vite. C'était comme si elle voulait échapper à quelque chose ou à quelqu'un. C'était clair pour Sophie. Dorémi savait qu'elle lui demanderait des explications à la fin des cours, ce qu'elle voulait à tout prix éviter. Plus elle sentit l'effort de Dorémi pour la semer, plus sa motivation de la rattraper lui donna de l'énergie qui finit par la rapprocher suffisamment d'elle. Elle n'était plus qu'à deux mètres d'elle. Dorémi entendit ses pas qui se rapprochaient de plus en plus. Elle savait que c'était Sophie. Ce ne pouvait être qu'elle.

    Sophie: "Dorémi, je t'en pris arrête-toi!"

    Ces mots lui confirmèrent qu'il s'agissait bien de Sophie. Dorémi s'efforça d'aller plus vite mais elle sut qu'elle finirait au bout d'un moment par s'arrêter d'épuisement. C'est à cette pensée justement, qu'elle sentit sa respiration de plus en plus brève. Elle ne put s'empêcher de ralentir malgré ses quelques forces qui lui restaient, pour finir par s'arrêter complètement. Sophie fit de même.

    Sophie: "Dorémi, j'aimerais simplement que tu me dises qu'est-ce qui ne va pas. J'aimerais t'aider mais je ne sais même pas pourquoi tu es comme ça. Pourquoi est-ce tu refuses mon aide?! Pourquoi est-ce tu refuses de me dire ce qui t'empêche d'aller de l'avant?!"

    Dorémi voulut se retourner et lui dire mais quelque chose lui en empêcha, un sentiment de ne pas mêler Sophie à ça, un sentiment de ne pas lui transmettre toute la solitude et la mélancolie qu'elle ressentait. Sophie prit une voix plus calme et sanglotante.

    Sophie: "Je n'ai plus envie de te voir souffrir comme tu as pu l'être avant. J'ai... j'ai envie de retrouver mon amie d'avant. La Dorémi que je connaissais, celle qui a toujours su aider les autres quand ils étaient perdus. Celle qui a su leur redonner espoir quand ils en avaient le plus besoin. Celle qui a su les relever et leur montrer que tout le monde avait le droit au bonheur. Tu as su montrer aux autres l'importance de l'amitié... Je pense qu'aucune personne ne mérite plus le bonheur que toi."

    A ces paroles, les larmes de Dorémi s'écoulèrent sur ses joues.

    Sophie: "En fait, je le sais depuis le début. Je sais depuis le début que c'est parce qu'Emilie, Loulou, Mindy et Flora te manquent que tu souffres autant. J'attendais simplement que tu sois prête à me le dire, mais j'ai vite compris que tu ne le ferai pas pour ne pas partager toute cette tristesse que tu as en toi."

    Dorémi fut surprise de voir que Sophie avait deviné ce qui la rongeait autant de l'intérieur.

    Dorémi: "Tu te trompais Sophie. Tu te trompais quand tu disais que tout serait comme avant. Rien ne pourra plus jamais être comme avant... Je ne peux m'empêcher de souffrir du manque d'Emilie... de Loulou... de Mindy... et de Flora... Tout comme je ne peux m'empêcher de souffrir de la solitude que j'ai vécue. Cette souffrance que je ressens depuis ce jour... m'envahit de plus en plus. Elle m'envahit comme elle commence à envahir mon père, ma mère... et Bibi. Je n'ai pas envie de leur imposer ça mais je... je ne peux pas faire autrement que de ressentir à chaque instant un peu plus cette douleur. Je n'ai pas envie qu'il t'arrive la même chose."

    Sophie: "Rien ne pourrait me faire plus souffrir que d'être éloignée de toi."

    A ces mots, Dorémi fut surprise. Elle ne put se retenir plus longtemps, elle se retourna et se jeta dans les bras de Sophie.

    Dorémi: "Excuse-moi Sophie... Excuse-moi..."


  • Commentaires

    1
    Jeudi 15 Septembre 2016 à 20:27

    Bonjour Eaden, je voulais te remercier pour ce très joli commentaire qui me touche énormément. C'est rare de nos jours de voir des personnes si sincères et reconnaissantes du travail des autres comme toi. Moi aussi, je trouvais dommage que ce dessin-animé se termine aussi tristement, c'est pour ça que j'ai décidé de créer ce blog. Je suis heureuse de voir que tu as su remarquer ce que je voulais mettre en avant en créant cette fanfiction.

    Merci de m'avoir fait remarqué pour le fond noir. A vrai dire, au début, j'avais un petit peu de mal à mettre en place l'apparence de mon blog et je me suis principalement concentré sur les fonds, polices... En oubliant les commentaires. Je vais le modifier mais ce qui m'ennuie c'est que je ne pourrais plus voir ton commentaire.

    Encore merci pour ce que tu as écris, c'est très touchant surtout que j'ai commencé à écrire il n'y a que quelques semaines. En tout cas, saches que je suis passée sur ton blog et je le trouve vraiment adorable :)

      • Jeudi 22 Septembre 2016 à 15:20

        Je ne savais que toi aussi tu avais écrit une fanfiction (je suis passée sur ton blog plusieurs fois mais je ne l'ai pas vue).

        En tout cas, merci beaucoup pour tous tes encouragements. C'est vraiment très sympathique de ta part de prendre de ton temps pour m'écrire d'aussi gentilles choses. J'apprécie beaucoup les personnes comme toi, qui sont reconnaissantes du travail des autres. Je ne te connais pas dans la vie mais je pense que tu dois vraiment être une chic personne.

        Je suis désolée d'avoir mis autant de temps à te répondre mais comme tu as pu le constater sur le blog de Bobosse, Aicko-Chan et Bérêt, je suis au lycée. Merci encore pour ton soutien, c'est toujours agréable de lire tes commentaires comme les tiens :)

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